• Solo

    Tu le sais, souvent je me caresse, quand je pense à toi....
    Je me touche, je me fais jouir, je gémis et me tortille avec ton nom sur les lèvres, et ton image en tête.

    Je me lève tôt, et je prépare le terrain pour une bonne partie de la journée...  Je lis ou j'écris des trucs coquins, des histoires qui me mètent le corps à fleur de peau.  Des histoires qui font que j'ai les seins en feu et la chatte mouillée (et je mouille, je mouille!)

    Puis je fais mes activités de la journée.  Je me douche, je m'habille, en prenant garde de ne pas me toucher, de ne pas me satisfaire.  Je vais faire les courses, la vaisselle, j'accroche le linge sur la corde (en prenant soin d'y mettre bien en vue mes plus jolies culottes.  Et toute la journée, j'entretiens mon désir.  Je laisse vagabonder mes pensées, j'imagine tes mains sur mon corps, ton sexe dur, ta bouche..... 

    J'ai chaud, je n'y tiens plus!  Je retire mes vêtements, et je déambule nue dans l'appartement, malgré les fenêtres ouvertes.

    Dans la chambre, sur le lit, je m'installe confortablement.  Mes mains vagabondent sur mon corps, s'attardent sur mes seins, et j'imagine que ce sont tes mains.  Je pince mes mamelons, je les graffigne légèrement du bout des ongles, je les titilles de mes doigts, et une main descend doucement, lentement vers mon entre-jambes.  Je ne me touche que très lentement, effleurant mon sexe sur toute sa longueur, frôlant en alternance mon clitoris qui se dresse et l'entrée de mon vagin, allant de l'un à l'autre sans m'arrêter.  Mes mouvements sont lents et régulier à aucun moment je ne prolonge le toucher, ni d'un côté ni de l'autre.  Je ne veux pas jouir tout de suite... après avoir passé la journée dans un état d'excitation à peine supportable, ce serait dommage d'en finir trop vite.

    Après un moment, je retire ma main et continue plutôt de caresser mes seins, jouant avec mes mamelons, mais bientôt j'en veux encore.  Je prends mon jouet, celui que tu m'as offert, et je glisse le bout à l'entré de mon antre.  Pas très profondément, et por le moment sans vibration.  Je ne fait que l'entrer et le sortir, juste un peu, et plus je le bouge à l'intérieur de moi, plus je me mets à ruisseler.  Je pense à toi, je pense à cette fois où nous avons fait l'amour et où tu m'as fait jouir ainsi, seulement en entrant le bout de ton sexe en moi, puis ressortant tout à fait.  Ces simples aller-retours, jamais plus profond que le gland de ton sexe, mon bien vite fait exploser de plaisir sans besoin d'aucune autre stimulation.  Tu as aimé savoir que tu pouvais me faire jouir simplement avec ton sexe, sans même toucher mon clitoris.  C'est ce que je voudrais reproduire, en ce moment, en faisant aller le bout du jouet à l'intérieur de moi.

    Ce n'est pas pareil, ce n'est pas toi....  Ce n'est pas ta chair, à l'intérieur de moi, et j'ai vite besoin d'un extra.  J'appuie sur le bouton, et déclanche la vibration, à son plus bas.  Là, c'est mieux. 

    Je continue de faire aller et venir le jouet en moi.  Je voudrais garder le rythme lent, mais malgré moi j'accélère, malgré moi je vais un peu plus profondément, et c'est toi que j'imagine aller et venir ainsi.  Je te veux, oh! comme je te veux!  Je veux tes mains, ta bouche, je veux ton sexe!  Je veux parcourir ta peau de mes mains, t'embrasser, te sentir en moi!

    Bientôt, les yeux fermés et la tête pleine de toi, je sens mon plaisir monter, monter, l'orgasme poindre....  Pendant un moment, je songe à m'arrêter maintenant, reprendre mon souffle, mais j'ai passé le point de non retour.  J'enfonce le jouet en moi, et mes spasmes me font oublier où je suis.  Je jouis, encore et encore, je hurle mon plaisir pendant plusieurs secondes!

    Et finalement, je me détends, encore haletante.  Je ferme les yeux et je respire profondément.  Je me laisse aller à rêver encore un moment, imaginant que tu es là, que tu me vois, que tu souris tu plaisir que j'ai eu.  Plus tard, il sera bien temps de reprendre le cours normal de la journée...

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